Lors d’un stage d’écriture avec Blaise Hofmann, Sophie Sciboz découvre une nouvelle forme d’expression. Sans fioriture, son écriture entre dans le vif de l’émotion et “prend aux tripes”.
Pendant le confinement, privée de scène, l’auteure yverdonnoise lance un projet littéraire sur les réseaux sociaux. Le journal fictif “La quarantaine de Virginie”, suivi quotidiennement par plus de cinq cents personnes en Suisse et à l’étranger, remporte un franc succès et les lecteurs en redemandent. Lors de la deuxième vague, c’est “A l’automne ramasser les instants plus vivants que jamais” qui voit le jour.
Ses deux nouvelles font l’objet d’un projet de podcasts littéraires pour lequel l’Yverdonnoise a reçu une bourse de recherche et de développement artistique de l’État de Vaud.